
5 conseils pour améliorer le SEO de votre site
Si votre site ne sort pas sur Google, vous nâexistez pas. Ce nâest pas une question dâego, câest une question de survie pour votre entreprise.
Entreprendre, ce nâest pas juste gĂ©rer une boĂźte : câest une aventure Ă plein temps ! Que vous soyez en pleine crĂ©ation dâentreprise, Ă la recherche de conseils ou simplement en manque dâinspiration, le blog des entrepreneurs de l’Agence Juridique est votre nouveau meilleur ami.
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Si votre site ne sort pas sur Google, vous nâexistez pas. Ce nâest pas une question dâego, câest une question de survie pour votre entreprise.

Vous ĂȘtes employĂ© depuis plusieurs annĂ©es ? Votre travail vous apporte un revenu stable, une certaine sĂ©curitĂ©, mais pas (ou plus) de sens ? Vous rĂȘvez de liberté ? Moi aussi je suis passĂ©e par cette envie de crĂ©er mon entreprise.

Quand on dirige une entreprise avec des salariĂ©s, certaines dĂ©cisions ne sont jamais simples Ă prendre. La rupture conventionnelle fait prĂ©cisĂ©ment partie de ce type de dĂ©cision dĂ©licate. Ni licenciement ni dĂ©mission, il sâagit de permettre un dĂ©part nĂ©gociĂ© entre lâemployeur et le salariĂ©.

Dans un contexte oĂč la responsabilitĂ© sociale et environnementale nâest plus une option pour les entreprises, je vous propose de dĂ©couvrir comment rĂ©diger un rapport RSE ISOâŻ26000 adaptĂ© Ă votre entreprise.

2026 sâannonce comme une annĂ©e charniĂšre pour les rĂ©seaux sociaux et le marketing de contenu avec les performances de plus en plus impressionnantes de l’IA. Les entreprises qui veulent rester visibles et gagner la confiance de leurs clients nâont donc plus le choix : elles doivent sâadapter.

Je n’emploie pas de salariĂ©s, mais beaucoup d’amis entrepreneurs le font. Et il y a une chose dont ils ne parlent pas trĂšs souvent Ă mon grand Ă©tonnement, c’est le dĂ©part de leurs collaborateurs.

CrĂ©er une entreprise, ça fait rĂȘver. Mais entre lâidĂ©e de dĂ©part et le jour oĂč vous lancez vraiment votre activitĂ©, il y a un monde, et surtout, des compĂ©tences Ă acquĂ©rir, une stratĂ©gie Ă affiner et un business plan Ă bĂ©tonner.

Chaque fin dâannĂ©e, câest le mĂȘme rituel dans beaucoup dâentreprises : on bloque des crĂ©neaux pour les entretiens annuels, on farfouille dans les dossiers RH, on survole les objectifs, on se demande comment on va bien pouvoir « évaluer » le travail de chacun, etc.

Le freelancing est plus populaire que jamais, surtout depuis la crise sanitaire du COVID. Vous le voyez sans doute autour de vous, et je le vois chaque jour dans mes échanges avec des professionnels indépendants, de plus en plus de freelances cherchent à se regrouper pour ne plus évoluer seuls.

Si je devais vous rĂ©sumer lâenjeu de lâimage de marque pour une entreprise, je dirais que sans elle, vous pouvez avoir les meilleurs produits ou services, personne ne sâen souviendra.

On vous a sĂ»rement dĂ©jĂ vendu le rĂȘve de la start-up qui lĂšve des millions, du SaaS rĂ©volutionnaire ou du business model Ă la Silicon Valley, nâest-ce pas ? Mais pendant que tout le monde court aprĂšs le dernier outil Ă la mode, des milliers dâentreprises françaises prospĂšrent discrĂštement dans lâombre des projecteurs.

Ă l’heure qu’il est, la mobilitĂ© en entreprise n’est plus qu’un simple sujet logistique. C’est en effet devenu un enjeu liĂ© au climat, Ă la performance sociale et Ă la compĂ©titivitĂ©. Mais il est Ă©vident que c’est l’urgence environnementale qui pousse les entreprises françaises Ă rapidement revoir leurs plans de mobilitĂ©.

Il y a une chose que vous ne maĂźtriserez jamais totalement, mĂȘme avec la meilleure gestion du monde : vos clients. Vous pouvez avoir un contrat en bĂ©ton, des CGV irrĂ©prochables, une relance millimĂ©trĂ©e, une procĂ©dure bien rodĂ©e, etc., et malgrĂ© tout, vous retrouver avec une facture impayĂ©e.

Parler de dĂ©marche bas-carbone aujourdâhui nâest plus une posture « greenwashing » pour se donner bonne conscience. Câest au contraire une stratĂ©gie capitale pour la survie de votre entreprise dans un monde en transition. Et surtout, vos clients lâattendent et vos futurs collaborateurs lâexigent.

Vous en ĂȘtes au moment dĂ©cisif de votre premier recrutement ? C’est une Ă©tape trĂšs importante pour votre entreprise, mais c’est aussi Ă cette occasion que l’administration française vous rappelle qu’elle existe.

S’il y a bien une chose que j’ai apprise Ă mes dĂ©pens, c’est que choisir un nom dâentreprise est Ă la fois grisant et angoissant. On veut une dĂ©nomination forte, un signe distinctif qui marque les esprits, et quand on y arrive enfin, on oublie trop souvent une Ă©tape trĂšs largement sous-estimĂ©e : la protection.

Aujourdâhui, il ne suffit plus dâavoir une bonne offre pour attirer vos clients. Si vous voulez dĂ©velopper votre entreprise, vous devez forcĂ©ment communiquer efficacement sur les rĂ©seaux sociaux. Je parle ici de LinkedIn, Instagram, TikTok, Pinterest, YouTube et mĂȘme Snapchat si la cible de votre activitĂ© sây trouve.

Reprendre une entreprise est un projet entrepreneurial complexe. Contrairement Ă la crĂ©ation de sociĂ©tĂ©, la reprise offre en effet lâavantage de sâappuyer sur une activitĂ© dĂ©jĂ existante, avec des clients, un chiffre dâaffaires et une structure opĂ©rationnelle.

Vous le savez peut-ĂȘtre, le marchĂ© de l’emploi est aujourd’hui ultra-concurrentiel. C’est bien pour cette raison que motiver vos salariĂ©s et attirer de nouveaux talents n’a jamais Ă©tĂ© aussi stratĂ©gique. Peu importe la taille de votre entreprise, vous ĂȘtes en concurrence avec des structures, des organisations qui savent vendre leur culture, leur management et leur expĂ©rience collaborateur.

DĂ©couvrez ce qui distingue une start-up d’une entreprise classique : modĂšle, innovation, croissance et financement.

Quand on parle de congĂ© maternitĂ© en tant quâentrepreneuse, la question revient toujours : est-ce que les indĂ©pendantes ont les mĂȘmes droits que les salariĂ©es ? La rĂ©ponse est oui⊠mais avec des spĂ©cificitĂ©s. On fait le point dans cet article.

Quand on dĂ©bute une activitĂ©, le statut dâauto-entrepreneur, aussi appelĂ© micro-entreprise, est souvent la premiĂšre Ă©tape. Simple, rapide, sans formalitĂ©s lourdes, il attire des milliers dâentrepreneurs chaque annĂ©e.

DĂ©couvrez le rĂŽle dâun business angel et son impact possible sur le financement et la croissance de votre entreprise.

En l’espace de quelques annĂ©es, le coworking est devenu un sujet si incontournable dans le monde du travail que les espaces dĂ©diĂ©s se sont multipliĂ©s comme des petits pains. Entreprises, indĂ©pendants et mĂȘme certains salariĂ©s en tĂ©lĂ©travail en sont devenus de fidĂšles adeptes au fil du temps.

Aujourdâhui, le greenwashing est partout. Dans les publicitĂ©s, sur les emballages, dans les posts LinkedIn et jâen passe. Pour beaucoup dâentreprises, lâĂ©cologie est malheureusement plus un rĂ©flexe marketing quâun vĂ©ritable engagement environnemental.

Quand j’ai commencĂ© mon activitĂ© en 2007, je me souviens avoir passĂ© des journĂ©es entiĂšres Ă me demander comment calculer mon TJM (taux journalier moyen). Il faut dire que c’est un enjeu important pour une activitĂ© d’indĂ©pendant, notamment parce que le chiffre dĂ©cidĂ© nous place en concurrence directe avec les autres professionnels de notre marchĂ©.

Si je suis bien convaincue d’une chose, c’est quâen tant quâentrepreneur, on ne peut plus se contenter d’ĂȘtre spectateur face Ă la crise climatique. Nos activitĂ©s, aussi modestes soient-elles, ont un impact. Et mĂȘme si vous ne gĂ©rez pas une usine en Chine ou un parc de poids lourds, votre entreprise, comme toutes les autres entreprises en France, produit des Ă©missions de gaz Ă effet de serre.

Depuis quelques annĂ©es, j’observe une vague d’intĂ©rĂȘt autour de la holding. D’ailleurs, vous avez peut-ĂȘtre remarquĂ© que les business des influenceurs, youtubeurs et autres personnalitĂ©s d’internet tournent souvent autour de ce statut juridique si particulier.

Vous avez dĂ©jĂ une activitĂ© principale, un emploi salariĂ©, une sociĂ©tĂ© en votre nom ou mĂȘme une entreprise, et pourtant, lâenvie de lancer une nouvelle activitĂ© secondaire vous chatouille ? Peut-ĂȘtre est-ce pour tester une idĂ©e, complĂ©ter vos revenus ou simplement parce que vous avez une passion que vous voulez professionnaliser ?

Jâai longtemps cru que pour rĂ©ussir en freelance, il fallait courir. Courir aprĂšs les clients, les objectifs, les projets, les rĂ©sultats, etc. Et puis un jour, jâai rĂ©alisĂ© que cette course ne menait quâĂ une chose : le burn-out. Mon activitĂ© tournait, certes, mais moi, je mâĂ©teignais doucement.

CrĂ©er une micro-entreprise est souvent le premier pas dans le grand bain de l’entrepreneuriat. C’est aussi celui que j’ai fait il y a bien longtemps quand j’ai voulu lancer mon activitĂ© professionnelle.

Monter une sociĂ©tĂ© Ă plusieurs, c’est un peu comme se marier sans faire de contrat. Quand tout va bien et que chaque personne reste respectueuse des autres, c’est parfait, mais si les relations se tendent, les ennuis commencent.

Quand on se lance dans la crĂ©ation d’une entreprise, on a mille choses en tĂȘte parmi lesquelles le produit, le business model, la ligne Ă©ditoriale, le logo, le nom de domaine, etc. Et au milieu de cette effervescence, une question revient assez souvent chez les jeunes entrepreneurs : faut-il dĂ©poser sa marque dĂšs la crĂ©ation de l’activité ?

Quand je me suis lancée à mon compte, je croyais naïvement que je pourrais prendre des vacances comme le fait un salarié. Une ou deux semaines pour tout couper, pour respirer, pour me retrouver loin du Web et de mes activités du digital, loin de mes clients, et surtout loin de ce travail qui prend beaucoup de place dans ma vie.

Depuis la gĂ©nĂ©ralisation du tĂ©lĂ©travail aprĂšs la crise du Covid, on entend souvent parler du confort que cette pratique apporte aux salariĂ©s, de la flexibilitĂ© quâelle instaure dans nos rythmes de travail, et mĂȘme de la possibilitĂ© de mieux concilier vie personnelle et vie professionnelle.

CrĂ©er son entreprise aprĂšs un burn-out, câest un peu comme reconstruire une maison aprĂšs un incendie. Tout semble fragile, mais câest aussi lâoccasion de poser de nouvelles fondations, plus solides, plus respectueuses de sa santĂ© mentale et physique

CrĂ©er une entreprise quand on est neuroatypique, c’est comme essayer d’Ă©crire un business plan en Ă©quilibre sur un fil, avec un chat qui miaule, un enfant qui pose des questions existentielles, et votre cerveau qui dĂ©cide que c’est peut-ĂȘtre le bon moment pour rĂ©flĂ©chir au design de votre futur site Web.

Dans le monde de lâentrepreneuriat, on entend souvent que sâassocier avec un ami, un parent ou mĂȘme un compagnon de vie, câest lâidĂ©e du siĂšcle. AprĂšs tout, qui mieux quâun proche pour partager votre projet, votre vision et votre envie de changer les choses Ă votre maniĂšre ?

CrĂ©er une entreprise avec un handicap, câest possible. Je le sais, je lâai fait. Et pourtant, je ne vais pas vous mentir, ça ne se fait pas sans embĂ»ches. Ătre entrepreneur handicapĂ© en France, câest affronter Ă la fois les obstacles de lâentrepreneuriat classique, mais aussi ceux plus spĂ©cifiques dus au handicap.

Lever des fonds, ce n’est pas seulement encaisser un chĂšque ou pitcher devant un investisseur en costume. C’est un acte trĂšs stratĂ©gique qui touche au cĆur mĂȘme de votre entreprise. Sauf que pour y parvenir, vous devez avoir le bon statut juridique.

DĂ©marrer une journĂ©e quand on est entrepreneur, câest parfois comme entrer dans une arĂšne. Le tĂ©lĂ©phone vibre dĂšs 7 heures, les mails sâempilent, les prioritĂ©s changent toutes les 10 minutes, et votre to-do-list ressemble Ă une hydre.

Quand on dĂ©marre une micro-entreprise, on croit souvent quâon ne peut pas rĂ©cupĂ©rer la TVA parce quâon est en franchise de base. Et on reste gĂ©nĂ©ralement sur cette croyance, sans se poser plus de questions. Or, câest complĂštement faux.

Si vous ĂȘtes chef dâentreprise et futur employeur, vous avez sĂ»rement entendu parler de la taxe dâapprentissage. Mais quâest-ce que câest exactement ? Pourquoi les entreprises la paient-elles ? Comment est-elle calculĂ©e et Ă quoi sert-elle concrĂštement ?

Au tout dĂ©but oĂč jâai créé mon entreprise, je pensais que gĂ©rer les impayĂ©s serait relativement simple. Mais… jâĂ©tais trĂšs naĂŻve. Parce que la rĂ©alitĂ© est tout autre. En tant quâentrepreneur dĂ©butant, on sous-estime trĂšs souvent lâimpact des retards de paiement sur la gestion financiĂšre de notre entreprise.

En tant que dirigeante dâune entreprise individuelle, je sais combien le choix du statut juridique est crucial dĂšs la crĂ©ation dâune activitĂ©. Jâai par exemple longtemps hĂ©sitĂ© entre lâentreprise individuelle (EI) et lâEURL, cette sociĂ©tĂ© unipersonnelle proche de la SARL, mais pour un associĂ© unique.

Recevoir un avis de contrĂŽle fiscal fait incontestablement l’effet d’une douche froide. Pourtant, en tant quâentrepreneur, mieux vaut bien comprendre que cette procĂ©dure fait partie du fonctionnement normal de lâadministration fiscale. Eh oui ! Un contrĂŽle n’implique pas nĂ©cessairement que vous avez commis une fraude ou une erreur.

Chaque semaine, je vois passer une question rĂ©currente sur les rĂ©seaux sociaux (en tout cas, sur LinkedIn) : « Puis-je ĂȘtre dirigeant d’une sociĂ©tĂ© tout en gardant mon statut dâauto-entrepreneur ? » En voilĂ une bonne question, n’est-ce pas ?

Autour de moi, jâai trop souvent vu un patrimoine immobilier disparaĂźtre en fumĂ©e parce que les propriĂ©taires nâavaient pas su anticiper la succession. Entre la loi qui impose des droits Ă©levĂ©s, lâindivision qui gĂšle la gestion et la protection imparfaite du conjoint survivant, le risque est clair : votre capital construit ou acquis, parfois Ă la sueur de votre front, passe aux mains dâautrui ou se retrouve bradĂ© pour payer le fisc.

AprĂšs 18 ans d’entrepreneuriat entiĂšrement en tĂ©lĂ©travail (je n’ai jamais mis un pied dans les locaux de mes clients), je pense que je suis plus que lĂ©gitime pour partager ma façon de m’organiser. Quand j’ai dĂ©marrĂ© mon activitĂ©, j’ai mis trĂšs longtemps Ă trouver ma vitesse de croisiĂšre et Ă ne pas me laisser dĂ©border par le nombre de clients que j’acceptais ou toutes les sources de distraction de mon domicile.

CrĂ©er son entreprise est une sacrĂ©e aventure, mais choisir son statut juridique peut s’avĂ©rer plus compliquĂ© que prĂ©vu, surtout lorsqu’on est entrepreneur solo. Croyez-moi, je suis bien placĂ©e pour le savoir. Malheureusement, ou heureusement, c’est une Ă©tape incontournable. Et vous devez avoir pleinement conscience que votre choix dĂ©terminera peut-ĂȘtre la pĂ©rennitĂ© de votre activitĂ©.