Des idées, des plans, des raccourcis ! Tout ce qu’il vous faut pour lancer votre business sans faire de fausses notes.
Créer une entreprise, ça fait rêver. Mais entre l’idée de départ et le jour où vous lancez vraiment votre activité, il y a un monde, et surtout, des compétences à acquérir, une stratégie à affiner et un business plan à bétonner.
S’il y a bien une chose que j’ai apprise à mes dépens, c’est que choisir un nom d’entreprise est à la fois grisant et angoissant. On veut une dénomination forte, un signe distinctif qui marque les esprits, et quand on y arrive enfin, on oublie trop souvent une étape très largement sous-estimée : la protection.
Découvrez ce qui distingue une start-up d’une entreprise classique : modèle, innovation, croissance et financement.
Quand on débute une activité, le statut d’auto-entrepreneur, aussi appelé micro-entreprise, est souvent la première étape. Simple, rapide, sans formalités lourdes, il attire des milliers d’entrepreneurs chaque année.
Depuis quelques années, j’observe une vague d’intérêt autour de la holding. D’ailleurs, vous avez peut-être remarqué que les business des influenceurs, youtubeurs et autres personnalités d’internet tournent souvent autour de ce statut juridique si particulier.
Vous avez déjà une activité principale, un emploi salarié, une société en votre nom ou même une entreprise, et pourtant, l’envie de lancer une nouvelle activité secondaire vous chatouille ? Peut-être est-ce pour tester une idée, compléter vos revenus ou simplement parce que vous avez une passion que vous voulez professionnaliser ?
Quand on se lance dans la création d’une entreprise, on a mille choses en tête parmi lesquelles le produit, le business model, la ligne éditoriale, le logo, le nom de domaine, etc. Et au milieu de cette effervescence, une question revient assez souvent chez les jeunes entrepreneurs : faut-il déposer sa marque dès la création de l’activité ?
Créer son entreprise après un burn-out, c’est un peu comme reconstruire une maison après un incendie. Tout semble fragile, mais c’est aussi l’occasion de poser de nouvelles fondations, plus solides, plus respectueuses de sa santé mentale et physique
Créer une entreprise quand on est neuroatypique, c’est comme essayer d’écrire un business plan en équilibre sur un fil, avec un chat qui miaule, un enfant qui pose des questions existentielles, et votre cerveau qui décide que c’est peut-être le bon moment pour réfléchir au design de votre futur site Web.
Dans le monde de l’entrepreneuriat, on entend souvent que s’associer avec un ami, un parent ou même un compagnon de vie, c’est l’idée du siècle. Après tout, qui mieux qu’un proche pour partager votre projet, votre vision et votre envie de changer les choses à votre manière ?
Créer une entreprise avec un handicap, c’est possible. Je le sais, je l’ai fait. Et pourtant, je ne vais pas vous mentir, ça ne se fait pas sans embûches. Être entrepreneur handicapé en France, c’est affronter à la fois les obstacles de l’entrepreneuriat classique, mais aussi ceux plus spécifiques dus au handicap.
Lever des fonds, ce n’est pas seulement encaisser un chèque ou pitcher devant un investisseur en costume. C’est un acte très stratégique qui touche au cœur même de votre entreprise. Sauf que pour y parvenir, vous devez avoir le bon statut juridique.
En tant que dirigeante d’une entreprise individuelle, je sais combien le choix du statut juridique est crucial dès la création d’une activité. J’ai par exemple longtemps hésité entre l’entreprise individuelle (EI) et l’EURL, cette société unipersonnelle proche de la SARL, mais pour un associé unique.
Chaque semaine, je vois passer une question récurrente sur les réseaux sociaux (en tout cas, sur LinkedIn) : « Puis-je être dirigeant d’une société tout en gardant mon statut d’auto-entrepreneur ? » En voilà une bonne question, n’est-ce pas ?
Autour de moi, j’ai trop souvent vu un patrimoine immobilier disparaître en fumée parce que les propriétaires n’avaient pas su anticiper la succession. Entre la loi qui impose des droits élevés, l’indivision qui gèle la gestion et la protection imparfaite du conjoint survivant, le risque est clair : votre capital construit ou acquis, parfois à la sueur de votre front, passe aux mains d’autrui ou se retrouve bradé pour payer le fisc.
Créer son entreprise est une sacrée aventure, mais choisir son statut juridique peut s’avérer plus compliqué que prévu, surtout lorsqu’on est entrepreneur solo. Croyez-moi, je suis bien placée pour le savoir. Malheureusement, ou heureusement, c’est une étape incontournable. Et vous devez avoir pleinement conscience que votre choix déterminera peut-être la pérennité de votre activité.
Choisir le statut juridique de son entreprise est sans doute la question la plus délicate de toute la phase de création. Il faut dire que cette décision impacte votre future fiscalité, mais aussi votre future responsabilité, le régime social du dirigeant, et bien d’autres aspects de la gestion d’entreprise.
Si vous comptez lancer prochainement votre entreprise, le business plan est le document qui vous aidera à clarifier votre vision, à construire une stratégie solide et à potentiellement rassurer vos futurs partenaires. Le seul problème, c’est finalement de savoir par où commencer.
Lorsqu’on crée une entreprise, la question de sa domiciliation est souvent perçue comme une simple formalité administrative. Pourtant, ce choix a des conséquences bien réelles sur l’image, la crédibilité et la perception de ladite activité. Eh oui, ce n’est pas juste une question de courrier ou de formalités juridiques !
Je me souviens qu’il y a presque 20 ans, je savais que je voulais travailler à mon compte et non pas pour un patron. Mais malgré cette volonté farouche, je n’ai pas su tout de suite vers quelle direction aller. Encore aujourd’hui, il m’arrive de me retrouver face à des interlocuteurs qui souhaitent ardemment lancer une entreprise rentable, mais sans avoir la moindre idée.
