A travers un marché du consulting en plein boom, et connaissant actuellement une croissance constante à deux chiffres d’une année sur l’autre, de plus en plus de personnes se lancent dans l’activité de consultant indépendant.
La possibilité d’exercer de manière libre et autonome en étant son propre dirigeant, mais également la faculté ouverte de choisir ses missions, et fixer sa rémunération et son temps de travail, ou encore de travailler depuis chez soi, chez le client ou en déplacement séduit toujours plus. Professionnel indépendant, le consultant exerce des missions plus ou moins durables auprès de ses clients professionnels, afin de leur faire bénéficier de son expertise, les accompagner dans leur activité ou gérer des situations problématiques et conflictuelles de par leur expérience et leur savoir-faire. Il est donc particulièrement conseillé de disposer de solides connaissances dans le domaine d’expertise choisi, et idéalement d’une expérience tout aussi importante.
Mais se lancer dans le consulting ne s’improvise pas et nécessite l’accomplissement d’un certain nombre de formalités et de procédures. Voici toutes les informations à connaître avant de se lancer.
Le métier de consultant indépendant : de quoi s’agit-il ?
Le métier de consultant indépendant couvre un large éventail d’activités : consultant en immobilier, en ressources humaines, en informatique, etc. Il s’agit essentiellement d’un professionnel qui fait bénéficier de son expertise à des entreprises.
Les tâches du consultant indépendant sont très diverses : il anime des débats au sein de l’entreprise, propose des pistes d’amélioration, évalue les situations (au moyen d’audits par exemple), élabore diverses stratégies (par exemple, un plan de communication ou de cybersécurité), gère des situations très diverses et assure le suivi des divers méthodes et moyens mis en œuvre.
Comment se faire rémunérer en tant que consultant indépendant ?
Le système de rémunération du consultant indépendant est bien spécifique, cependant il existe diverses possibilités.
Les méthodes de facturation
La facturation à l’heure ou à la journée
La première approche consiste à fixer un taux horaire. Le consultant indépendant fixe librement les honoraires qu’il facture à ses clients. Ce taux horaire varie selon plusieurs facteurs :
- Les contraintes et enjeux de la prestation ;
- Le niveau d’expertise et d’expérience du consultant ;
- La réputation du consultant ;
- Les honoraires pratiqués par les concurrents.
Bon à savoir : il est également possible de facturer sur la base d’un taux journalier moyen (TJM). Celui-ci est donc établi à la journée, de manière forfaitaire.
La facturation à la prestation
On ne tient pas compte du temps passé comme pour la facturation à l’heure ou à la journée. Cependant, il reste possible de prévoir une rémunération supplémentaire au-delà d’un certain nombre d’heures passées sur le projet.
La facturation au résultat
Il s’agit d’une méthode de facturation moins utilisée car plus risquée. Si le consultant n’obtient pas le résultat pour lequel il a été sollicité par son client, il ne touche pas de rémunération.
La facture
Il s’agit ici d’une étape essentielle afin de se faire rémunérer en tant que consultant indépendant. Une fois qu’il a déterminé le montant dû par le client, le consultant indépendant doit facturer ses prestations. Il convient ici de respecter un formalisme bien particulier. La facture doit être établie en deux exemplaires (un pour le consultant, un pour le client), sur un support papier ou électronique. Elle doit obligatoirement contenir certaines mentions :
- Date d’émission de la facture ;
- Numéro de la facture ;
- Date d’exécution de la prestation ;
- Informations sur l’entreprise et sur le client : nom et prénom si exercice en microentreprise, dénomination sociale si exercice en société, adresse professionnelle ou siège social ;
- Désignation de la prestation ;
- Décompte détaillé de chaque prestation fournie ;
- Prix : indication du taux appliqué (taux horaire, journalier, etc.) ainsi que d’éventuelles majorations ou rabais effectués ;
- Taux de TVA applicable ;
- Montant total à payer.
Quel est le salaire d’un consultant indépendant ?
La rémunération d’un consultant indépendant est très variable. Le montant perçu varie selon le secteur d’activité, mais également le réseau, le niveau d’expertise, les tâches confiées ou la réputation du consultant. On estime cependant le salaire moyen d’un consultant indépendant entre 40000€ et 70000€.
Afin de déterminer la rentabilité de votre projet de consulting, il peut être très intéressant de réaliser une étude de marché : vous obtiendrez alors une idée des besoins des clients ainsi que des montants que vous pourrez facturer.
Devenir consultant indépendant : les démarches à suivre
Avant de se lancer, il est nécessaire de vérifier que le consultant indépendant est concerné par ce métier. Un consultant indépendant est soumis d’exercer une activité de conseil, il est important d’avoir certaines qualités comme la curiosité, la réactivité, une bonne communication ainsi qu’une analyse minutieuse. Votre domaine de compétence doit être exemplaire. Les entreprises font appel à ces travailleurs via des missions de freelance.
Devenir consultant indépendant, ce qui signifie se mettre à son compte, n’est pas une décision que l’on prend sans réfléchir, car sa mise en œuvre doit amener réflexion et préparation. Effectivement, entre le choix du statut juridique de la société, l’étude détaillée des besoins de la cible, la précision de l’offre, la création du site web, etc., le consultant indépendant est nécessairement impliqué afin de rendre son activité vivable.
De plus, c’est faire le choix d’une activité d’assistance et de conseil en indépendant ou sous forme de cabinet de consulting auprès des entreprises. L’accès à cette profession est relativement aisé, puisque celle-ci n’est pas réglementée et ne nécessite de remplir aucune obligation particulière en matière de diplôme ou d’inscription à un quelconque ordre professionnel, bien qu’il existe diverses associations et structures facultatives ayant vocation à regrouper les professionnels du consulting.
Le consultant peut donc choisir d’exercer sous forme libérale, comme il peut exercer son activité à travers une entreprise (un cabinet par exemple) mais également en portage salarial. La constitution d’une société sous forme d’entreprise individuelle permet de constituer une personne morale dédiée à l’exercice de l’activité (EURL, EIRL, microentreprise, etc.), et offre la possibilité d’accéder à des régimes fiscaux et sociaux différents qui peuvent s’avérer avantageux selon la situation précise du professionnel.
C’est pourquoi il est particulièrement recommandé de se faire conseiller et accompagner par un professionnel pour la détermination du régime juridique le plus adapté, mais également la rédaction des statuts régissant l’organisation de la société et l’accomplissement des diverses formalités d’immatriculation et de création.
Et si le professionnel en conseil dédié aux entreprises est allergique aux formalités mais également à la gestion administrative d’une société, il est en mesure de confier l’ensemble à une entreprise de portage salarial, afin de conserver un statut particulier à cheval entre le salariat et le régime indépendant, tout en confiant l’administratif à l’entreprise choisie.
En effet, dans ce cas, il demeure indépendant dans les faits, tout en conservant un statut juridique de salarié de l’entreprise de portage salarial. À ce titre, il réalise lui-même la prospection et recherche de nouveaux clients, négocie et fixe librement le tarif de ses prestations ainsi que la facturation.
Les montants perçus ne correspondent alors pas à des honoraires, mais sont perçus directement par l’entreprise de portage salarial, qui après retenue de sa commission et des frais de gestion administrative, rémunère son conseiller salarié en fonction des missions accomplies et des facturations effectuées.
Pourquoi travailler en tant que consultant indépendant ?
Vous envisagez de devenir consultant indépendant ? Il est important de connaître les raisons qui vous pousse à faire ce choix de carrière.
- Vous souhaitez être le dirigeant de votre vie professionnelle ?
- Vous souhaitez organiser votre temps de travail librement ?
- Vous souhaitez vous orienter vers une nouvelle voie professionnelle ?
- Vous souhaitez percevoir une rémunération importante ?
- Vous souhaitez mener vos projets professionnels dans leurs totalités ?
- Vous souhaitez satisfaire vos clients et prendre vos propres décisions ?
Il est également récurrent que des personnes ayant un certain âge, le plus souvent cela concerne les personnes ayant plus de 45 ans, ne sont pas bien vu par les entreprises car ceux-ci sont jugés trop dépassés. C’est pour cette raison que ces personnes, n’ayant plus d’avancement dans leurs carrières, décident de se mettre à leur compte en tant que consultant indépendant. Les avantages sont nombreux car ils bénéficient du capital de leur expertise.
Quel statut juridique choisir ?
Aujourd’hui, l’activité de conseil, qui signifie être consultant indépendant, n’est pas une activité libérale règlementée. Le choix du statut juridique vous revient, vous pouvez librement choisir votre objet social, et n’êtes soumis à aucune formation obligatoire. C’est également pour cette raison qu’il est extrêmement important de bien rédiger vos statuts concernant l’activité que vous souhaitez mener. Il existe 4 statuts juridiques possibles afin de devenir consultant indépendant.
Faire le choix de l’une de ses formes juridiques pour votre société va vous permettre, en tant que Président, d’être automatiquement affilié au régime de la sécurité sociale. Cela est un avantage non négligeable étant donné que vous allez pouvoir bénéficier d’une meilleure indemnisation maladie, mais aussi un meilleur régime de retraite.
– Le portage salarial
Le portage salarial est une relation contractuelle tripartie, dans laquelle un salarié porté, ayant un contrat de travail avec une entreprise de portage salarial, effectue une prestation pour le compte d’entreprises clientes. Cette forme de travail dispose de sa propre convention collective, permettant au consultant indépendant d’exercer son activité en totale liberté, tout en ayant les mêmes avantages qu’un salarié, c’est-à-dire une protection sociale, des congés payés ou encore la possibilité de percevoir une allocation chômage.
– Exercer en freelance au moyen d’une microentreprise (ancien statut d’auto-entrepreneur)
Ce statut de microentreprise, anciennement connu sous le nom de « régime autoentrepreneur », séduit le plus grand nombre des consultants indépendants, car c’est le statut privilégié pour tester une activité, par exemple un consultant indépendant étant au départ de son activité toujours salarié d’une entreprise.
Ce régime permet au consultant indépendant de payer ses cotisations sociales en fonction de son chiffre d’affaires. Cependant, ce chiffre d’affaires est contraint à un plafonnement. A long terme, cela peut bloquer le développement de l’entreprise.
– L’EIRL
L’entreprise individuelle à responsabilité limitée est caractérisée par sa responsabilité limitée. Cela permet de sécuriser le patrimoine personnel de l’entrepreneur. Cependant, même chose que pour le régime de la microentreprise, le chiffre d’affaires est contraint à un plafonnement pouvant bloquer le développement de l’entreprise. Mais l’avantage de ce statut est la réduction des formalités, ainsi le coût est réduit si on le compare au statut de la microentreprise.
Attention : Depuis le 16 février 2022, il n’est plus possible de choisir le statut d’entrepreneur individuel à responsabilité limitée (EIRL).
– La SASU ou l’EURL
Ces deux formes juridiques concernent les entreprises unipersonnelles. Ce sont toutes deux des variantes respectives de la société par actions simplifiée (SAS) et la société à responsabilité limitée (SARL). Effectivement, elles se distinguent concernant le régime social du dirigeant, mais aussi concernant les règles d’imposition. Il est important de rappeler que la caractéristique de la SASU est sa souplesse ainsi que son importante complexité de mise en œuvre ainsi que de gestion.
Formalités administratives
Étant donné le fait que l’accès à cette profession n’est pas réglementé, les formalités à accomplir sont assez légères et se limitent à la création éventuelle d’une structure juridique permettant d’exercer l’activité (microentreprise ou autre entreprise individuelle). Il n’y a pas de contraintes liées à l’acquisition et l’usage d’un local puisque le consultant indépendant peut travailler aussi bien chez lui que chez ses clients ou dans un local dédié (généralement dans un espace de travail partagé ou autre co-working afin de réduire et partager les frais). En revanche, il devra bien domicilier l’entreprise à son domicile ou auprès d’un centre de domiciliation spécifiquement prévu à cet effet.
La principale contrainte, outre celle d’une structure juridique adaptée à l’exercice de l’activité est celle de la souscription d’une assurance professionnelle couvrant les éventuels préjudices liés à l’activité de conseil, ainsi que les litiges avec un client. Il est également nécessaire d’adhérer et de cotiser auprès d’une caisse d’assurance maladie, mais également d’un organisme de retraite spécifique, dans les trois mois suivant le démarrage de l’activité.
La constitution de l’entité juridique peut s’effectuer en ligne, et nécessite de choisir un régime juridique pour l’entreprise individuelle, de rédiger les statuts, ouvrir un compte bancaire séparé, libérer le capital prévu, et enregistrer la société au RCS en déposant un dossier complet auprès du Guichet Unique (sur le site de l’INPI). Un Kbis est alors délivré, attestant de la bonne immatriculation de la société.
Le régime social pour un consultant indépendant
Le régime social applicable dépend de la forme juridique choisie pour l’entreprise créée pour exercer l’activité de conseil, ou du statut. En effet, le micro-entrepreneur est soumis au régime des travailleurs non-salariés (ou régime microsocial simplifié), tout comme le professionnel libéral, tandis que le consultant indépendant en société est soumis au régime général des salariés, à moins qu’il soit associé majoritaire avec plus de 50 % du capital.
Le régime fiscal variable pour un consultant indépendant
Le consultant indépendant peut être soit soumis à l’impôt sur les sociétés, soit à l’impôt sur le revenu au titre des bénéfices non commerciaux. Ainsi, s’il exerce dans le cadre d’une structure juridique propre donc pour le compte d’une société, il est dans la plupart des cas soumis à l’impôt sur les sociétés (sauf cas et régimes juridiques particuliers offrant une faculté d’option sur le régime fiscal applicable, ou dans le cadre de l’EIRL, de la SASU ou de l’EURL qui entraînent automatiquement une imposition au titre de l’impôt sur le revenu). En revanche, lorsqu’il travaille en portage salarial, il est soumis à l’impôt sur le revenu dans le cadre des revenus dégagés par son activité de conseil.
En revanche, le consultant indépendant bénéficie dans certains cas d’abattements fiscaux liés au régime micro-BNC.
Enfin, il facture systématiquement la TVA en vigueur pour ses prestations à ses clients (sauf dans le cadre du régime de la microentreprise), en effectuant alors une déclaration aux services fiscaux dont la périodicité varie selon le régime concerné.
Comment se déclarer en tant que consultant indépendant ?
Tout dépend ici de la forme juridique sélectionnée. Si vous souhaitez exercer votre activité de consultant en microentreprise, la procédure est simplifiée. Il suffit simplement de déclarer le début de votre activité au Guichet unique. La déclaration consiste, tout simplement, à informer les diverses institutions du lancement de l’activité de consultant en microentreprise. L’entrepreneur va déterminer son régime fiscal, la dénomination de sa micro-entreprise, la périodicité des cotisations sociales, etc.
La procédure est un peu moins simple si vous décidez d’exercer votre métier de consultant indépendant en SASU ou en EURL. Il convient alors de suivre les procédures de création pour chaque forme juridique.
Quelques conseils pour vous lancer et réussir votre projet professionnel
Se concentrer sur la bonne cible
Il est important, lors du démarrage de votre activité en tant que consultant indépendant, de se concentrer sur une cible établie, car il est nécessaire que vous connaissiez le domaine afin d’apporter la meilleure expertise à vos clients : ceux-ci recherchent avant tout une valeur ajoutée. Par exemple, certaines entreprises expriment le besoin d’accroître leur activité interne, alors que d’autres souhaitent accroitre le profit de leur entreprise ou encore être plus attentif aux désirs de leurs clients. C’est pour cette raison qu’il est nécessaire de développer des démonstrations commerciales afin d’établir vos qualités professionnelles.
Il est également important de se spécialiser, pour cette raison il est important de se définir en tant que : consultant en management, consultant en référencement, consultant juridique, ou encore consultant financier.
Déterminer votre offre
Il est important de connaître le marché avant de s’implanter car il est difficile de trouver sa place au sein d’un marché où les entreprises sont nombreuses. Mais il ne faut pas non plus sacrifier vos prix pour cette raison, car cela est mauvais pour votre image (sous-évaluer votre compétence et vos expertises peut compromettre la viabilité de votre projet).
Il est donc nécessaire d’adopter un tarif réaliste en fonction de votre niveau d’expertise, mais aussi en fonction de la rareté de votre activité.
Attention : ne pas oublier de prendre en considération les cotisations sociales ainsi que les autres frais, car cela réduit considérablement votre chiffre d’affaires.
La prospection et la visibilité nécessaire sur internet
Afin de réussir votre projet professionnel, le consultant indépendant doit mettre en œuvre une prospection importante et établir une communication.
Les possibilités du web sont un avantage non négligeable. Tout professionnel voulant accroître son activité, ou seulement la démarrer, doit être visible sur le net afin de faire connaître ses offres et ses expertises.
Être visible sur le web (site internet, plateforme de freelance, réseaux sociaux) est obligatoire pour réussir car cela vous permet d’exposer la valeur ajoutée de votre société tout en vous différenciant de vos concurrents.
Cependant, il ne faut pas miser toute la communication sur le web. Par exemple, réaliser des évènements professionnels sont très intéressant pour développer votre réseau et ainsi l’entretenir.
La possibilité de faire appel à des aides publics et privés
Un consultant indépendant doit être expert dans son secteur. Néanmoins, il n’est pas évident d’être à l’aise dans les démarches commerciales ou encore administratives. Il est nécessaire de connaître que certains organismes publics et privés peuvent vous accompagner dans votre projet, voici quelques exemples d’organismes :
- La chambre des métiers ;
- Les pépinières d’entreprises ;
- Les chambres de commerce et d’industrie (CCI) ;
- Les formations ainsi que l’accompagnement qu’offrent les entreprises de portage.
Si vous êtes actuellement demandeur d’emploi et que vous souhaitez lancer votre activité en tant que consultant indépendant, vous bénéficiez du cumul : versement de vos allocations avec les futures rémunérations perçues provenant de votre activité en portage. Cependant, cela nécessite le respect de certaines conditions.
Faire face à votre décision d’être consultant indépendant
La réalité d’être en activité libérale est difficile à accepter pour certains consultants indépendants car les perspectives économiques ou encore les promesses de liberté peuvent ne pas être aussi facile que ce qu’ils espéraient.
Être consultant indépendant contraint à faire preuve de détachement. Les premières années en tant que consultant indépendant sont souvent difficile sur le plan économique et personnel car il faut pouvoir contracter les premiers clients, atteindre une certaine stabilité économique mais aussi trouver le point d’équilibre entre la vie professionnelle et la vie personnelle. Il faut donc faire preuve de persévérance, de patience et avoir une très bonne organisation.
Alternative possible pour un consultant indépendant : la franchise
Beaucoup d’enseignes, qu’elles soient de formation, de services aux entreprises, de coaching ou encore de conseils offrent la possibilité aux nouveaux consultants indépendants sur le marché de devenir franchisés. Cela offre la possibilité d’obtenir une marque, mais aussi une notoriété, un réseau ou encore une communication. Cependant, en contrepartie, il est obligatoire de payer les droits d’entrées dans la franchise choisie.
Si vous souhaitez créer votre entreprise de consulting, rendez-vous sur le formulaire en ligne d’Agence Juridique.
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